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@@ -3,7 +3,7 @@ COMPOSITEURS : Haydn, Beethoven, Mendelssohn
 DESCRIPTION :
 2h00 avec entracte
 
-Ce programme plein d’esprit, énergique et espiègle réunit trois compositeurs germaniques. On y retrouve des caractères communs à la musique ultra-rhénane : la structure, la puissance, l’explosivité et la virtuosité.
+Ce programme plein d’esprit, énergique et espiègle réunit trois compositeurs germaniques. On y retrouve des caractères communs à la musique ultra-rhénane : la structure, la puissance, l’explosivité et la virtuosité.
 
 L’écoute des trois mouvements lents nous fait mesurer l’évolution du style classique au style romantique. La pureté et l’équilibre d’une écriture chorale dans l’*Adagio sostenuto* de Haydn, l’intériorité du sentiment dans la triste complainte de l’*Adagio molto e mesto* de Beethoven et la mélancolie douce et rêveuse de l’*Andante espressivo ma con moto* de Mendelssohn.
 MORCEAUX :
@@ -17,7 +17,7 @@ COMPOSITEURS : Beethoven
 DESCRIPTION :
 1h50 avec entracte
 
-> Croyez-vous que je pense à vos misérables cordes quand l'esprit me parle ?
+> Croyez-vous que je pense à vos misérables cordes quand l'esprit me parle ?
 
 Voilà ce qu’aurait répondu Beethoven au quatuor Schuppanzigh qui se serait plaint de la difficulté technique de ses quatuors à cordes. Du trio au quatuor, explorez l’univers d’un Beethoven sans concession et sans limite. De l’infiniment petit à l’immensité de l’univers, de l’introspection la plus intime à la transcendance la plus totale, (re)découvrez son écriture contrastée et éternellement moderne.
 MORCEAUX :
@@ -47,7 +47,7 @@ DESCRIPTION :
 
 Partez à la découverte d’un répertoire pétillant, effervescent et lumineux.
 
-Ces quatuors écrits par trois compositeurs de trois siècles différents nous évoquent tous les caractères du champagne : la noblesse et la majesté chez Mozart, la fête et l’ivresse avec Mendelssohn tandis que Ravel y contemple les jeux de bulles et de lumière.
+Ces quatuors écrits par trois compositeurs de trois siècles différents nous évoquent tous les caractères du champagne : la noblesse et la majesté chez Mozart, la fête et l’ivresse avec Mendelssohn tandis que Ravel y contemple les jeux de bulles et de lumière.
 MORCEAUX :
 - Mozart — quatuor n°17, KV. 458, « La Chasse » (1784)
 - Mendelssohn — quatuor n°3, op.44 n°1 (1838)
@@ -76,7 +76,7 @@ DESCRIPTION :
 
 Ce programme vous propose trois quatuors des génies du XVIIIe siècle, composés en l’espace de quinze ans.
 
-Il réunit les trois compositeurs phares de cette époque charnière : le maître Haydn et ses deux illustres élèves Mozart et Beethoven. Il permet de (re)découvrir la quintessence du style classique et le début du romantisme qui apparaît chez Beethoven.  
+Il réunit les trois compositeurs phares de cette époque charnière : le maître Haydn et ses deux illustres élèves Mozart et Beethoven. Il permet de (re)découvrir la quintessence du style classique et le début du romantisme qui apparaît chez Beethoven.  
 Nous y retrouvons un Haydn plein d’esprit, vif, doux, recueilli puis explosif. Un Mozart gai, élégant et malicieux qui sait également être plus profond et recueilli. Enfin, un 
 Beethoven déjà dramatique qui joue sur les contrastes et l’effet de surprise dans une grande rigueur rythmique.
 MORCEAUX :
@@ -92,7 +92,7 @@ DESCRIPTION :
 
 Ce concert réunit deux quatuors virtuoses qui ont marqué l’histoire de la musique. Ils sont aujourd’hui considérés comme des chefs d'œuvre du répertoire.
 
-Beethoven a joué un rôle majeur dans l’évolution du quatuor à cordes. À travers ses seize quatuors composés sur près de trente ans, il a repoussé les limites du genre et nous a confié ses sentiments les plus profonds. Lors de sa création, le 7ème quatuor rencontra l’incompréhension du public et des exécutants. Au violoniste Radicati qui lui déclarait que ce n’était pas de la musique, Beethoven répondit : « Ce n’est pas pour vous ! C’est pour les temps à venir ».  
+Beethoven a joué un rôle majeur dans l’évolution du quatuor à cordes. À travers ses seize quatuors composés sur près de trente ans, il a repoussé les limites du genre et nous a confié ses sentiments les plus profonds. Lors de sa création, le 7ème quatuor rencontra l’incompréhension du public et des exécutants. Au violoniste Radicati qui lui déclarait que ce n’était pas de la musique, Beethoven répondit : « Ce n’est pas pour vous ! C’est pour les temps à venir ».  
 De son côté, Bartok souhaitait innover dans la forme tout en ancrant son œuvre dans la tradition populaire de son pays. Il entreprit une démarche originale qui le conduisit à récolter des thèmes folkloriques auprès des populations locales. Son cycle de six quatuors à cordes, composé lui aussi en l’espace de trente ans, est l'aboutissement de la quête de ce nouveau langage musical, inspiré par la musique populaire avec la richesse de construction propre à la musique écrite occidentale.
 MORCEAUX :
 - Beethoven — quatuor n°7, op.59 n°1, « Razumovsky » (1806)